Jusqu’a présent, une entreprise de charpente et menuiserie, ce qui est le cas d’Arnold Fils, devait gérer son stock de bois en fonction du séchage, plus ou moins long selon les essences et l’épaisseur du bois. Arnold a trouvé le moyen de lever cette contrainte.

La durée de séchage est en moyenne de trois ans. Si ce délai n’est pas respecté ou si le bois sèche trop vite, il se forme des gerces et le bois se fend. Aujourd’hui, l’entreprise, qui travaille le bois de la grume à la porte et à la fenêtre, n’a plus ce souci de stockage, une grume fraîchement coupée peut être utilisée et transformée dans les trois semaines après l’abattage de l’arbre.

La seule machine de séchage de bois en France

La machine utilisée, qui se présente sous la forme d’un tunnel d’une douzaine de mètres de long, fonctionne selon le principe du vide d’air, ou de la dépression positive qui accélère la migration de l’humidité vers la surface. Le séchage optimal selon l’essence, l’épaisseur du bois et son taux d’humidité est entièrement piloté par informatique. En France, il n’existe pas de machine de ce genre. Découverte en Allemagne, la machine a séduit la scierie Arnold qui a tout de suite investi dans la machine.

Séchoir à bois made in Deutschland

L’entreprise Arnold, créée par Paul Arnold en 1954 est dirigée par Maurice et Alfred ses fils, lesquels ont été rejoints par Frank, qui représente la troisième génération. « Nous sommes une entreprise familiale, avec une dizaine de salariés et nous travaillons à une capacité optimale, qui garantit la qualité ».

Logiciel informatique qui permet un contrôle du séchage

Arnold Fils prêt à relever des défis

L’entreprise ressent également les effets de la crise, mais en se diversifiant, en recherchant de nouveaux marchés : collectivités locales, construction de maisons en ossature bois, elle pu maintenir son chiffre d’affaires et les emplois. « Mais nous restons toujours en alerte, prêts à relever les défis qui se présentent. Chaque année nous investissons. Après la cuve de séchage, nous avons investi dans la formation pour obtenir le label RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), ce qui nous permet de participer aux chantiers de rénovation BBC soutenus par les crédits d’impôts », explique Frank Arnold.

Arnold Fils privilégie les essences de bois locales, elle a signé une charte avec le Parc des Ballons des Vosges. Néanmoins elle a dû étendre sa zone de travail qui couvre tout le Haut-Rhin. Elle façonne environ 800 m³ de grumes par an, ce qui fait 500 m³ de bois utilisable sachant qu’une charpente par exemple représente entre 3 et 8 m³ de bois.

Sylvie Reiff

Cette manifestation qui clôture la 1^ère Quinzaine de l’Aménagement extérieur permet d’acheter de quoi embellir son jardin ou planter son potager. Plantes, fleurs et fruits y sont déclinés, de l’alimentation à la cosmétique en passant par le jardinage, le mobilier de jardin ou le bien-être. Près de 60 exposants spécialisés, parmi lesquels des démonstrations et des ateliers d’art floral, une exposition avicole, des démonstrations d’un tailleur de pierre à l’ancienne, une exposition d’ornements extérieurs en ferronnerie d’art, des nichoirs originaux en bois ainsi qu’un “Marché des Plaisirs Gourmands”.

Par ailleurs, la plupart des enseignes de la Cité sont ouvertes au public.

• Ouverture les 21 et 22 mars de 10h à 18h non-stop
• Entrée, conférences, animations et parking gratuits (hors représentations du cirque Zavatta)
• Restauration sur place
• Programme complet sur : www.lacitedelhabitat.com

Pour en savoir plus sur la quinzaine de l’Aménagement, cliquez ici.

Béatrice Fauroux

Sous la houlette de Jean-Christophe Trédemy, le Cité de l’Habitat vit une nouvelle étape de son développement. Se positionnant comme un endroit incontournable pour tous les projets liés à l’habitat, La Cité de l’Habitat est aussi un lieu ouvert aux événements d’entreprise.

Petit rappel pour commencer : la Cité de l’Habitat entame sa 11^ème année d’existence et regroupe sur 20.000 m² pas moins de 102 entreprises dans tous les secteurs de l’habitat, de la construction au financement. On ne se rend pas toujours compte en passant devant la Cité que ses bâtiments abritent en permanence quelque 600 collaborateurs, car même s’il arrive à des enseignes de quitter la Cité, d’autres les remplacent. « Le taux de remplissage est quasiment maximal, car la Cité de l’Habitat n’est pas qu’un centre commercial d’artisans et de prestataires, mais un véritable réseau de prestataires professionnels au service des projets liés à l’habitat, et où ils se sentent bien », explique Jean-Christophe Trédemy.

Jean-Christophe Trédémy

La Cité de l’Habitat, le lieu du “faire-faire”

Ici, on n’achète pas de matériaux ou presque pas. Le cœur de métier des artisans et prestataires présents sur le site est d’accompagner le client dans la réalisation de son projet de construction, d’extension, d’aménagement ou de décoration, en conjuguant conseil, savoir-faire, matériaux de qualité et marques dûment sélectionnées.

Ferronnerie d’art

Nouveau : Citélium

Au cœur de la Cité se trouve Citélium, un espace aménageable ouvert aux événements professionnels ou privés : défilés, dîners de gala, repas de famille ou réceptions, à organiser soi-même ou réalisés clé en main par l’équipe de la Cité. « Notre emplacement idéal au carrefour des axes vers Belfort, Colmar ou la vallée de Thann facilite les rassemblements et les participants aux événements n’ont aucun problème de parking ! », souligne le Directeur de la Cité de l’Habitat, qui par ailleurs propose cette année – c’est nouveau – deux “Quinzaines de l’Habitat” : une première au printemps, qui se termine (voir ci-dessous) et une seconde à l’automne.

Béatrice Fauroux

Richard Grangladen a deux vies professionnelles. Durant la première, il développe son entreprise, MENG, spécialisée dans la fabrication de transformateurs électriques. Et il consacre la seconde à développer la médiation en entreprise, destinée à lever les conflits internes et éviter les procès en prud’hommes.

Chef d’entreprise aux compétences diversifiées, Richard Grangladen possède à la fois une expérience à l’international, des connaissances techniques et une grande pratique du management. « Pour moi, reprendre MENG en 2004 était une manière de retrouver ma région et de faire quelque chose pour elle. Nous avons ensuite racheté l’entreprise Mérot Sodex en 2013 dont la gamme de puissance complète la nôtre ».

Richard Grangladen

Meng, fabrication de transformateurs

En clair, MENG fabrique des transformateurs jusqu’à 250 KVA (kilovoltampère), et Mérot-Sodex de 250 à 3000 KVA. « Ceci nous permet de bien couvrir le marché, et d’adapter le puissance des transformateurs aux demandes spécifiques. Les transformateurs médicaux, destinés à la SNCF ou à la Marine par exemple répondent à des contraintes très différentes ».

Sans oublier les fabrications spéciales. Ses clients se nomment Clemessy, Véolia ou Socomec. De 2,4 millions de CA en 2004, le petit groupe est passé à 4,2 millions en 10 ans, et l’effectif de 35 à 70 personnes, dont 42 à Rixheim. « Nous sommes fiers de ce savoir-faire très spécifique qu’il faut conserver en France. Nous avons trop de savoir faire industriels qui disparaissent », estime Richard Grangladen, qui évoque notamment l’absence de formation à l’électro-bobinage, dispensé par Meng en interne. Autre cheval de bataille du chef d’entreprise : la médiation en entreprise.

Prévenir les conflits dans l’entreprise

Membre conseil d’administration de la CGPME68 et membre de l’Association nationale des médiateurs, Richard Grangladen part du triste constat que les conflits en entreprise font perdre du temps et de l’argent aux entreprises, et donc aussi de la compétitivité. « Ancien conseiller prudh’omal, j’ai pu identifier les freins dans les conflits qui opposent les salariés aux employeurs. En particulier, il y a des indemnisations abusives par rapport à la nature du conflit : un procès coûte en moyenne 15.000 à 30.000 euros à l’employeur… Avec tout un système qui entretient et aggrave les procédures ».

A cela, selon lui, une réponse efficace : la médiation, un véritable métier qui joue un rôle préventif et évite les procès. « Dans les trois-quarts des situations, se mettre autour d’une table et se parler permet de revenir à la source du conflit et d’éviter le procès ». Via la structure indépendante qu’il a créée à cet effet, Richard Grangladen se met à la disposition des entreprises qui vivent des situations qui pourraient devenir conflictuelles.

Béatrice Fauroux

En procédure de sauvegarde depuis juin 2014, l’enseigne Crozatier démarre une nouvelle vie. Reprise par la société Casalys créée par Christophe Kuntschmann et trois associés, la marque a pour objectif d’être l’acteur majeur de l’ameublement premium et se donne pour objectif de totaliser 80 magasins d’ici cinq ans.

Historiquement installé avenue de Colmar à Mulhouse, le magasin, sous la responsabilité de Sébastien Muller, a déménagé en 2008 à Kingersheim, au Kaligone, sur une surface de 1.700 m². Le siège social situé au même emplacement accueille la nouvelle direction composée de Christophe Kuntschmann, président de Casalys, Christophe Rapp, Florence Berthet et Cyril Leepinlausky.

De gauche à droite: Christophe Kuntschmann, nouveau gérant de Crozatier et Sébastien Muller, responsable du magasin de Kingersheim

Crozatier, la renaissance dans la continuité

« La maison Crozatier a fait l’objet depuis 6 mois d’un repositionnement pour assurer sa continuité et sauvegarder un maximum d’emplois. L’été dernier, nous avons établi les bases du projet en collaboration avec le réseau national de magasins. En terme d’effectif, la reprise a permis la sauvegarde de 40 salariés, dont 10 personnes au siège à travers les 4 magasins que nous possédons en propre  », déclare Christophe Kuntschmann.

Crozatier, c’est donc une histoire qui continue et qui redémarre à la fois puisque la reprise signifie la mise en place d’une nouvelle structure, tant en termes d’organisation que d’action. Un renouveau calqué sur ses valeurs de proximité, qualité et loyauté.

Aujourd’hui, Crozatier représente un réseau de 28 magasins composé des 4 magasins rachetés par Casalys à Kingersheim, Vendenheim, Ezanville et Cannes, des 19 franchisés sur l’Hexagone et de 5 magasins en contrat de licence de marque dans les DOM TOM. A noter que le réseau national constitue un G.I.E (Groupement d’Intérêt Economique) qui détient 10% du capital.

Deux catalogues Crozatier: en noir et blanc celui datant des années 50 et en couleur le plus récent

Le virage “Premium”

Ce nouveau positionnement marketing est indispensable à la pérennité de Crozatier, car « le talent personnel ne suffit plus. » Elaborée depuis 2008, la gamme premium doit se positionner entre un 1er choix de niche souvent trop cher pour les classes moyennes et un milieu de gamme qui ne répond plus à leurs attentes.

Il précise : « Le milieu de gamme n’a pas intégré les évolutions du marché. Le consommateur se trouve aujourd’hui devant un non-choix. Pour parer à ce manque, Crozatier se fixe sur une stratégie d’accessibilité qui mêle les codes de qualité haut de gamme (accueil clients, communication de marque…) et des prix intéressants, compte tenu des qualités intrinsèques du produit. »

Considéré comme une piste d’avenir économiquement viable, le premium est le segment de marché où souhaite s’inscrire la maison. Afin de consolider sa place, Crozatier ambitionne désormais d’opérer des stratégies de rapprochement et d’alliance grâce aux trois principes qui ont fait le succès de sa renaissance : rupture, transparence et collaboration.

Sarah Meliani

Créée par Thibault Vigneron, artiste peintre et Anthony Roesch, réalisateur, l’émission web “Nous Les Artistes” a débuté en septembre 2014. Elle compte aujourd’hui 7 vidéos sur sa chaîne Youtube. Découverte.

“Nous Les Artistes” est une toute nouvelle émission web sur l’art et la culture gérée par un binôme complémentaire : Thibault Vigneron, artiste-peintre et dessinateur de BD qui a souhaité parler d’art au plus grand nombre, et son ami Anthony Roesch, réalisateur et dirigeant de la société de production Rock The Film.

De gauche à droite: Anthony Roesch et Thibault Vigneron

Une communication culturelle

« Suite à la demande de Thibault Vigneron, j’ai écrit le concept de cette émission. L’idée est simple : l’artiste qu’est Thibault va à la rencontre d’autres artistes en leur posant des questions plus pointues mais qui restent simples et accessibles au plus grand nombre », explique le réalisateur.

Produite par la société Rock the Film, l’émission web est visible sur Youtube. Son approche décalée, dynamique et rock devrait en séduire plus d’un. En effet, tout l’objectif du concept est de démystifier la profession d’artiste, dont la passion est également un métier régi par des codes et des processus beaucoup plus complexes qu’on ne l’imagine.

Une émission web au service de l’artiste

“Nous Les Artistes” est une émission intemporelle qui ne surfe pas sur l’actualité de tel ou tel artiste mais réalise des portraits visibles à n’importe quelle période et réutilisables. « Il n’y a aucune notion de temps dans nos rushes afin que l’artiste puisse se servir de la vidéo comme d’une présentation de son travail », explique Anthony Roesch.

Pour la prise de contact, Thibault Vigneron bénéficie d’un réseau artistique solide grâce à sa profession d’artiste-peintre et dessinateur de BD. A ce jour l’émission ne bénéficie d’aucun sponsor. Pour permettre la production de chaque vidéo et restreindre les coûts, les artistes participent aux frais de réalisation.

Véritable outil de communication culturelle, cette émission web use de tous ses charmes pour promouvoir les artistes ainsi que la société qui lui a fait voir le jour, Rock the Film.

Sarah Meliani

Ouvert le 2 mars 2015, ce nouveau concept de café-restaurant parental propose à la fois une cantine biologique, un salon de thé, des espaces de jeux pour les enfants et le matériel nécessaire à la prise en charge du nourrisson, le tout dans un lieu intergénérationnel. Découverte.

160 m² de décor vintage pour 30 places assises et 3 aires de jeux, tel est ce lieu original qui surfe sur une nouvelle tendance : les cafés-restaurants parents-enfants.

Ambiance vintage dans la salle du restaurant

Casser l’isolement de la parentalité

« A travers ce projet, j’ai créé mon 3ème bébé », s’amuse Audrey Schlavick, entrepreneuse du projet. Pour elle : « l’idée est de proposer un endroit cocooning qu’on ne trouve pas à Mulhouse et qui permet de casser l’isolement pour les parents ».

Pour ce faire, l’endroit dispose de tout le nécessaire à l’accueil des parents et de leurs enfants : des aires de jeux dans une ambiance zen, une bibliothèque, un coin discret pour les mamans allaitantes, une table à langer… A noter que le lieu ne fait pas office de garderie, puisque chaque enfant est sous la responsabilité de ses parents.

Audrey Schlavick

« En tant que parent, je n’étais pas forcément à l’aise dans les lieux publics traditionnels. J’insiste cependant sur le fait que ce lieu se veut intergénérationnel et ouvert à tous », explique-t-elle.

Côté restauration, l’offre de repas est présentée sous forme de cantine avec un arrivage journalier de produits frais, locaux, de saison et 100% bio. Salon de thé tout au long de la journée, le lieu peut accueillir des goûters d’anniversaire. Ô Bistrot des Poussettes propose également des ateliers et événements parents/enfants (massage, yoga pour femmes enceintes, shooting photo, troc de vêtements de marque…).

Aire de jeux

Le soutien d’Initiative Sud Alsace et d’Alsace Active

« Je tiens à remercier tous mes partenaires, tels que Ô Design Mural, dont la décoration murale a été réalisée par Carine de Marin, Sébastien Picquet de SP Création bois qui a confectionné le bar et LCTP qui m’a fourni la peinture biologique », précise la gérante. Un projet qui n’aurait pas été possible sans le soutien d’Initiative Sud Alsace et le parrainage du chef d’entreprise Michel Rybka, dirigeant des Enseignes Buhler. Sans oublier Alsace Active qui s’est porté garant à 70% du prêt bancaire.

Sarah Meliani

Financeur régional de l’investissement immobilier des entreprises, Alsabail dispose d’une agence au Parc des Collines depuis février dernier. Dirigé par Evelyne Kleinclaus et Jean-Paul Maldonado, Alsabail propose une offre immobilière particulière. Explications.

Fort d’une équipe de 25 personnes sur Strasbourg et Mulhouse, Alsabail propose de faciliter la création, la reprise ou le développement d’entreprises en contribuant à leur financement. Pour ce faire, elle met à disposition une avance sans intérêt et la répercute au moyen d’un crédit-bail immobilier sur 12 à 15 ans en moyenne.

Le crédit-bail pour un accompagnement sur le long terme

Grâce à ses services juridiques, financiers, comptables et suivis de constructions, la structure sait répondre aux demandes complexes de ses clients en accompagnant aussi bien des investisseurs étrangers que des entreprises locales.

« Notre objectif est d’accompagner sur le long-terme les transformations économiques dans le cadre de l’immobilier. Lorsqu’une entreprise recherche un immeuble et qu’elle ne bénéficie pas de toutes les ressources nécessaires, nous sommes là pour répondre à ses besoins financiers (crédit-bail), juridiques, techniques, comptables, et architecturaux », explique Evelyne Kleinclaus.

Concrètement, Alsabail acquiert un immeuble existant ou récemment construit pour des prix allant de 300.000 à plusieurs millions d’euros. Partenariats et actionnariats purement régionaux, Alsabail bénéficie du soutien financier des collectivités territoriales (51% du CG Haut-Rhin et Bas-Rhin), de la BPI (Banque Publique d’Investissement à hauteur de 40%), et des prêts à long terme de la part des établissements bancaires.

Un service multisectoriel et personnalisé

L’agence répond aux besoins en financement immobilier dans tous les secteurs d’activités : industrie, médical, logistique, bureaux… En veille constante sur le marché régional, ces experts proposent un bilan complet du projet avec une notion d’écoute, de proximité et de conseil. Alsabail permet de recourir à la location immobilière tout en souplesse puisque « l’entreprise garde ses fonds propres qu’elle peut destiner en priorité à sa croissance et non pas dans un crédit immobilier ». Une facilité offerte à toutes les PME d’Alsace pour contribuer à leur développement.

Biens disponibles :

• Cernay – Terrain rue des Fabriques
  Terrain à vocation industrielle – Surface : 6.739 m2

• Illzach – Parc d’Activités Napoléon
  A louer : 110 à 520 m²
 – Locaux à usage de bureaux et/ou show room
- Proximité immédiate commerces et services -
Disponibilité immédiate

• Illzach – Ile Napoléon
  A louer : 3.300 m² – Entrepôt hauteur 5 m
- 2 quais – 1 accès de plain-pied – Locaux sociaux -
Disponibilité immédiate

Sarah Meliani

Vous souhaitez être guider et conseiller en ressources humaines, cliquez ici !

Créé en 2013 par Nathan Neumann, Stark & Branson a vu le jour à Londres. De retour en Alsace, le jeune chef d’entreprise s’est empressé de s’entourer d’une équipe solide composée de Simon Mandin, styliste, François Vu Xuan, responsable de distribution, Isabelle Relvar, chargée de qualité et Marine Schnoebelen, chef de produit. Immersion dans l’univers de la mode made in Alsace.

De gauche à droite: Marine Schnoebelen, chef de produit, François Xavier Vu Xuan, responsable de distribution et Nathan Neumann, fondateur.

Imaginé en Angleterre, Stark & Branson puise son inspiration et ses valeurs autour d’un sport nautique : l’aviron. Le logo représente d’ailleurs deux rames d’aviron aux griffes de la marque.

Stark & Branson, une marque 100% européenne

« J’ai créé la marque suite au constat suivant : je ne trouvais plus d’habits qui me correspondaient et l’idée de payer chèr pour des vêtements de marque fabriqués à l’autre bout de monde ne m’enchantait pas », déclare Nathan Neumann. Ce côté militant est clairement inscrit dans l’ADN de cette marque qui souhaite promouvoir le savoir-faire français et européen. Le tissu des chemises est produit chez Emanuel Lang et la conception des chemises, polos, et t-shirts se fait au Portugal. Il ajoute : « Cette fabrication locale et européenne, nous permet de produire des chemises à 89,00€ et des t-shirts à 49,00€. Ce sont des prix très abordables compte tenu de la qualité du produit final. »

Cette jeune marque de prêt-à-porter masculin se veut branchée et subtile : « Stark & Branson ce sont les détails », précise François Vu Xuan. Côté cible, Marine Schnoebelen, chef de produit, explique que la marque se destine aux hommes de 18 à 35 ans mais qu’elle peut s’étendre puisque « notre cible se regroupe autour du lifestyle. Autrement dit, toutes les personnes qui partagent les mêmes valeurs que l’entreprise sans distinction d’âge. »

A la conquête des métropoles et des villes côtières

Implantée à Wittenheim, la plateforme logistique livre directement sa gamme de produits à la boutique Quai des Brunes à Mulhouse. « Ses clients correspondent parfaitement à notre cible. Ce magasin test nous permet ainsi d’avoir une première expérience de vente et pouvoir répondre parfaitement aux besoins de nos clients potentiels », explique le responsable de distribution.

En effet, Stark & Branson vise la conquête de boutiques multimarques puis les grands magasins (Galeries Lafayette…) en plus du développement des ventes sur son site internet (conçu par Wigo Media). L’idée est aujourd’hui de créer du buzz afin d’augmenter sa notoriété. Un concours a d’ailleurs été lancé auprès des étudiants en commerce de l’I.U.T de Colmar afin de réaliser une publicité de la marque à visionner sur Youtube.

Frais, décontracté et chic, Stark & Branson poursuit sa conquête et proposera une collection pour femme d’ici l’été 2016.

Sarah Meliani

Contact : Stark & Branson
Plateforme Logistique
14 rue de Lorraine à Wittenheim

Ou

91 rue du Faubourg St Honoré à Paris
Tél : 01.84.16.45.58
www.stark-branson.com
Facebook : Stark & Branson

Fondée en 1904, l’auberge a été reprise par Christophe Burger et Bruno Barrière en 2004. Au mois de mars elle a engagé d’importants travaux de rénovation, et amélioré sa carte.

Christophe Burger et Bruno Barrière

Fort d’une longue amitié et de leur expertise du métier, le duo est à la tête d’une équipe de sept personnes qui accueille ses clients dans un cadre tendance et chaleureux à Lutterbach. Le chef, Christophe Burger, propose une carte traditionnelle améliorée (poisson, viande de qualité, vins bios alsaciens) ainsi qu’une ardoise de suggestions qui varie chaque semaine. « Nous achetons des produits frais en petite quantité. Il nous arrive aussi de temps en temps de mêler la cuisine européenne à des influences asiatiques », précise-t-il.

Une salle flambant neuve

Avec une surface de 120 m² et 70 couverts, la salle a été rénovée en mars 2015. Espace aéré, nouveau mobilier, tableaux contemporains, influence rustique et tendance, tel est le nouveau look de l’Auberge du Soleil. Clientèle business, habitués ou de passage, les lieux accueillent aussi des repas de familles.

Le restaurant dispose également d’une terrasse de 40 couverts sous une charmille de platanes. Pour parfaire la qualité de ses services, l’auberge dispose de quatre chambres de 25 m² avec salle de bain pour 52 euros la nuitée (sans petit-déjeuner).

Sarah Meliani

Parce que c’est un entrepreneur qui l’a ouvert et que le concept est nouveau :

La Table de l’Atelier, Nicolas Lemoux, qui anime des ateliers de cuisine et offre des prestations traiteur, tout en co-développant des restaurants avec des menus burger.

Nicolas Lemoux

Parce que ce sont des entrepreneurs qui les ont ouverts et que le concept est nouveau :

Lionel Wurms, Jérôme Wickel et Emmanuel Wurms

Le Papa Rock Stub, restaurant esprit fifties, place de la République à Mulhouse (à la place du café Rey), créé par les frères Wurms qui viennent de reprendre le Fer Rouge à Colmar, leur 9^ème établissement en Alsace.

03 89 44 93 06

Mulhouse et sa région regorge de restaurants…

Créée en 1986 par Thiébaut Zeller, la CETA est composée d’une équipe de 8 personnes. Positionnée sur un marché de niche, elle propose des solutions destinées à l’évacuation d’eau pour la rénovation. Immersion dans une industrie leader en France sur le marché du raccord sanitaire souple.

Seul fabricant français, la CETA dispose d’une surface totale de 2500 m2 pour concevoir, produire et expédier ses produits d’évacuation d’eau, elle totalise un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros.

Thiébaut Zeller, dirigeant de la CETA

Solutions souples d’évacuation d’eau

« Nos produits se positionnent sur le marché du second œuvre du bâtiment. Ils sont destinés à l’évacuation d’eau essentiellement pour la rénovation », déclare Thiébaut Zeller qui souhaite apporter des solutions simples et professionnelles à ses clients. L’inventeur de la pipe souple articulée Multiforme (solutions d’évacuations pour WC) n’a de cesse d’optimiser la qualité de ses produits 100% français et l’agilité de sa chaîne de production.

Pour ce faire, la CETA invente ses propres pièces et met en sous-traitance l’extrusion (fabrication de tubes) et l’injection (mise en forme de matières plastiques). L’assemblage final se fait sur Mulhouse où les pièces sont collées, embouties, emballées et expédiées. Car l’évacuation d’eau fait face à des contraintes techniques pour lesquelles il faut s’adapter, la CETA propose entre autres des tubes d’évacuation souples et à mémoire de forme qui simplifient fortement leurs installations. Autres produits proposés : raccords sanitaires pour WC, lavabo et baignoire.

« Notre contrôle qualité est effectué sur 1/10 pièces avec un contrôle d’aspect sur la totalité de nos pièces », précise le chef d’entreprise qui produit 100 km de tubes et 350 000 raccords par an.

Qualité à 360°

Pour davantage satisfaire sa clientèle composée de distributeurs sanitaires et chauffages professionnels, la CETA mise beaucoup sur la qualité de ses produits mais aussi de ses services. « Nous disposons d’un carnet de commandes de 4h00 : une commande qui arrive le matin est expédiée l’après-midi et celle de l’après-midi pour le lendemain matin », explique Thiébaut Zeller qui dispose d’un importante force commerciale (14 représentants en France et 6 dans le Bénélux).

La satisfaction client fait partie des priorités de l’entreprise puisque une insatisfaction donne lieu à un dossier pour traiter la solution correctrice via un programme de gestion qualité géré par informatique (logiciel CRM qui permet aussi de cibler l’info envoyée au client par e-mails ou sms). Dernier produit inventé : le raccord pour évacuation gros débit qui se visse dans les deux sens. Une invention de plus pour cette entreprise si pointue dans son domaine et toujours à l’affût des dernières tendances technologiques et managériales.

Sarah Meliani

Contact : CETA
120-126 rue d’Illzach à Mulhouse
03.89.66.00.43
www.ceta-france.com

Cliquer ici pour voir la vidéo.